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Le Panda Roux, c'est qui ? c'est quoi ?

Le panda roux, c’est un fouineur, un farfouilleur, un cascadeur qui fouille et se blottit au coin des histoires qu’il découvre.  Le panda roux passe son temps, tout son temps, à jouer, à dénicher et à écouter ce qui se cache au creux des rêves envolés, éparpillés, qui se faufilent et filent dans la forêt.

Le panda roux n’a pas de maison, il voyage au gré des paysages, se déplace, roule et tourneboule où le porte le vent. Il aime se nicher dans les écoles, jouer dans les théâtres, grimper partout où il peut observer et imiter les jeux des enfants.

 

Le panda roux, c’est un cirque imaginaire, un monde sans dessus ni dessous, une école en chaussettes, des livres plein la tête.

Le panda roux joue avec les mots, jongle avec les images, sait porter sur son nez la mer et les étoiles.

Le panda roux, c’est l’imagination pour mieux grandir, pour mieux apprendre et pour mieux découvrir. L’imagination pour comprendre le monde, pour comprendre les autres, comprendre les grands, comprendre les oiseaux, les mots et les pandas blancs (ils sont pas roux ceux-là ? mais c’est qui ça ?).

 

Le panda roux, ce sont des Expositions, des Jeux, des Contes et des Ateliers pour les enfants. Toujours pour raconter des histoires. Des histoires pour découvrir le monde, pour apprendre les nombres, les couleurs, l’histoire des hommes et de la pensée, apprendre la différence, l’écoute, le partage. Le PANDA ROUX crée pour les enseignants, les parents et surtout les enfants, des outils pour apprendre par le biais du jeu, des arts et de l’imagination. Il est roux, il est doux, il aime les hirondelles, les renards à bretelles, les bulles qui funambulent, les enfants libellules, les devinettes en salopettes et les histoires qui marchent sur la tête. 

POUR QUI ? 

  

Le panda roux s'adresse

aux enfants et aux adolescents curieux et intrigués, questionnés, titillés,

aux enseignants soucieux d'ouvrir les possibilités d'un apprentissage global, ouvert sur l'autre, sur la connaissance de la terre, des hommes et des idées, tout en s'attachant à répondre aux besoins et aux acquisitions propres à chaque âge,

aux parents qui s'attachent à soigner l'éducation de leurs enfants pour leur transmettre le goût de l'imagination, la curiosité, le respect et l'intérêt pour la différence,

aux espaces culturels ouverts à la jeunesse, désireux de proposer des activités poétiques et ludiques en lien avec les thématiques de leurs programmations.

 

Enfin, il s'adresse aux adultes qui aiment l'idée d'une folie douce et d'un désordre réintégrés comme valeur de partage et d'ouverture du soi vers l'autre,

aux adultes qui aiment les histoires, les images & les voyages,

aux adultes qui aiment les maisons à roulettes, les chemins sans directions, les jeux de déconstructions, les bêbêtes à moustaches et les idées qui se reposent dans la buée du thé, du café, du maté et autres tasses bien chaudes du monde entier.

 

 

POUR QUOI ?

 

 

Pour la connaissance, le respect, l'amour du monde sauvage.

Pour la connaissance, le respect, l'amour des humanités.

 

Parce que l'imagination est un vecteur de partage, d'apprentissage et de découverte.

Parce que la création est un espace de découverte de soi et de rencontre de l'autre.

 

Parce qu'apprendre c'est se contruire soi-même, construire sa relation au monde, et qu'il nous tient à coeur que cette construction ne se passe jamais de jeu, de poésie et d'imagination.

 

 

L'IMAGINATION POUR MIEUX APPRENDRE 

 

Le panda roux, c'est d'abord la conviction que la création et l'imagination jouent un rôle primordial dans le processus d'apprentissage, qu'il s'agisse de l'apprentissage de la lecture, des nombres, de l'écriture mais aussi de la découverte de soi et des autres, de l'expression, du développement des idées et de l'acquisition des connaissances.

 

Le rôle de la création dans la construction de l'enfant  

Faire oeuvre est le lieu d'un apprentissage. Des consignes à appliquer, des règles à comprendre et à respecter ou à contourner, des exercices autour d'une technique travaillant la motricité, la maîtrise et l'appropriation des différents outils.

Faire oeuvre, c'est expérimenter la matière, donner une forme à une intention et ainsi donner à voir, à l'extérieur, un peu de ce qui existe à l'intérieur de soi. 

Faire oeuvre est donc aussi un travail sur la relation que l'enfant entretient avec les autres, sur la façon dont il appréhende le regard extérieur posé sur ce morceau d'intériorité qu'est la création personnelle. C'est un premier pas de partage d'un peu de soi révélé à l'autre. Le lien du soi face au monde qui se dessine. Et ainsi réaliser que nos actes ont une incidence sur le monde, que la forme que nous créons donne à ressentir.

Faire oeuvre et passer par la sphère de l'imaginaire permet à l'enfant de s'approprier les découvertes qu'on lui propose. Il n'apprend pas un savoir ni une donnée, il l'habite. Sa découverte entre en raisonnance avec son propre univers, elle devient ainsi comprise, analysée et vécue, devenant ainsi comme une petite part de lui-même. Une parcelle de sa relation au monde. Et non une "information" extérieure assimilée.

  

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